Mon vendredi soir se sera déroulé à Tangueando, histoire de dérouiller un peu ce corps trop large. J'ai revu Jorge Rodriguez, le mari de Sandra, ça faisait bien longtemps. Nous avons longuement parlé avec William Sabatier, après qu'il ait si bien joué ces solos de bandonéon. Du grand art, entre technique, sensibilité et grande générosité et capacité d'improvisation (deux thèmes avec Roberto Navarro nous ont laissé sur le cul. Et samedi, retour également pour la conférence de William, évidemment moins complète que la dernière qui avait duré 4 heures !
Le hic, c'est que Vincent G. était présent avec sa femme vendredi soir et que cela m'a gâché une partie de la soirée... Mais pas trop. Le voir au bureau est assez difficile mais incontournable mais qu'il vienne dans ma tanière tanguera, ça non. Bon je sais, le monde est à tous. C'est pour cela que j'ai surtout décidé de profiter de la musique...
Je me suis donc couchée assez tôt samedi, ratant avec regret la soirée tango à Ramonville... Malheureusement j'ai eu une nuit difficile, dans un demi-sommeil, très agité, rêvant, pensant, ne dormant pas... Alors le réveil à 6 h a signé mon arrêt de cette agitation... La journée à Pau avec les 27 chanteurs d'Archipels qui répétait le Magnificat de Bach et le Anthem for foundling hospital de Haendel a été longue. J'ai fini de lire "diario de un Noctambulo" d'Ivan W. Je n'ai plus rien de lui à lire, ce qui ne m'empêche pas d'y penser, en silence, sans me manifester.
Plus que 8 jours de travail aux éléments mais quand même 4 concerts plus tout ce qu'il reste à organiser... Je pense à Julie que je vais laisser avec tant de travail...