Il s'en passe des choses dans le Tarn !
Rien de paumé comme on pourrait le croire, avec des yeux fatigués de capitales mondiales !
Et bien ici, depuis des années pour certains et quelques mois pour d'autres, grâce à la toile tissée de mains expertes, de patience et d'acharnement également, une drôle de dame, Tarnaise depuis 50 générations, Claire Prouhet lance des défis et les relève brillamment, tant en faisant venir des professionnels de grande qualité que pour monter - comme ce fût le cas ce week-end - un spectacle d'amateurs pour le public venu au rendez-vous (gratuit, certes- d'un dimanche après-midi dans ce soin étonnant qu'est le Musée du Saut du Tarn à Saint Juéry (www.musee-saut-du-tarn.com), en plein après-midi de soleil intense, agrémenté des sphères en clés ou en cablages de couleurs de Dominique Fajeau.
Nous avons donc tous eu chauds ! A tous les sens du terme ! Non seulement ceux qui étaient visibles, plus de quinze personnes sur scène au final mais également tous ceux qui ont travaillé en amont pour le décor, le son, les idées comme le matériel. Ca a pris quelques mois de préparation, chacun avec ses talents, ses attentes, ses manques aussi (de disponibilité, surtout) et il n'était pas évident de penser que cela allait donner quelque chose d'assez cohérent; perfectible certes mais jubilatoire.
Alors même que certains tremblaient, ont pleuré de peur, se sont cognés dans les micros, ont glissé, se sont rattrapés, ont regardé en l'air... Qu'importe, la bonne entente et un soupçon de concentration savamment mêlés à l'envie de se faire plaisir et de se dépasser a régné, tant sur scène qu'en coulisses, où nous avions bien du mal à nous taire et à imaginer le spectacle dans sa globalité.
Et le repas final au château de Noailles n'a pas dénoté, soulagés, satisfaits et comblés.
Même qu'on est prêt à recommencer !
Et visiblement il est probable que deux dames de la Casa de España de Castres y participent !
Aux danseurs, choisis dans le vivier d'élèves ou d'amis de Claire Prouhet depuis longtemps, se sont ajoutés quelques musiciens glanés ça et là, confirmés ou débutants, répétant patiemment les quelques thèmes, et la voix de Guillaume Barrabant, à suivre, décidément.
Voilà, voilà, ça change pas la face du monde mais ça fait rudement du bien !
Rien de paumé comme on pourrait le croire, avec des yeux fatigués de capitales mondiales !
Et bien ici, depuis des années pour certains et quelques mois pour d'autres, grâce à la toile tissée de mains expertes, de patience et d'acharnement également, une drôle de dame, Tarnaise depuis 50 générations, Claire Prouhet lance des défis et les relève brillamment, tant en faisant venir des professionnels de grande qualité que pour monter - comme ce fût le cas ce week-end - un spectacle d'amateurs pour le public venu au rendez-vous (gratuit, certes- d'un dimanche après-midi dans ce soin étonnant qu'est le Musée du Saut du Tarn à Saint Juéry (www.musee-saut-du-tarn.com), en plein après-midi de soleil intense, agrémenté des sphères en clés ou en cablages de couleurs de Dominique Fajeau.
Nous avons donc tous eu chauds ! A tous les sens du terme ! Non seulement ceux qui étaient visibles, plus de quinze personnes sur scène au final mais également tous ceux qui ont travaillé en amont pour le décor, le son, les idées comme le matériel. Ca a pris quelques mois de préparation, chacun avec ses talents, ses attentes, ses manques aussi (de disponibilité, surtout) et il n'était pas évident de penser que cela allait donner quelque chose d'assez cohérent; perfectible certes mais jubilatoire.
Les dernières recommandations de Christophe Lambert et Judith Elbaz ont aidé à peaufiner le grain de folie...
Alors même que certains tremblaient, ont pleuré de peur, se sont cognés dans les micros, ont glissé, se sont rattrapés, ont regardé en l'air... Qu'importe, la bonne entente et un soupçon de concentration savamment mêlés à l'envie de se faire plaisir et de se dépasser a régné, tant sur scène qu'en coulisses, où nous avions bien du mal à nous taire et à imaginer le spectacle dans sa globalité.
Et le repas final au château de Noailles n'a pas dénoté, soulagés, satisfaits et comblés.
Même qu'on est prêt à recommencer !
Et visiblement il est probable que deux dames de la Casa de España de Castres y participent !
Aux danseurs, choisis dans le vivier d'élèves ou d'amis de Claire Prouhet depuis longtemps, se sont ajoutés quelques musiciens glanés ça et là, confirmés ou débutants, répétant patiemment les quelques thèmes, et la voix de Guillaume Barrabant, à suivre, décidément.
Voilà, voilà, ça change pas la face du monde mais ça fait rudement du bien !
Qu'on nous y reprenne....
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