mardi 24 mars 2009

Premiers pas rue du Taur


Hier, j'ai mis les deux pieds et les deux yeux dans les Rencontres des cinémas d'Amérique Latine. Que c'est agréable de pouvoir en profiter ! De déambuler au cœur de la ville, de rencontrer et croiser des amis, des connaissances (au moins 3 chanteuses du chœur de Voix Express).
J'ai donc commencé en début d'après-midi, à croiser Laurent Vivet quelques secondes avant d'aller rejoindre Martine Cazenave pour partager un film intéressant El Artista.
Hayrabet Alacahan faisant partie des spectateurs, nous nous sommes rejoints à la fin de la séance. Martine a été voir un autre film et moi j'ai préféré manquer un documentaire El último rodeo et prendre un verre avec lui, rue Gambetta, dans un café sympa en bois et en jazz. Les bonnes nouvelles sur sa reconnaissance m'ont fait grand plaisir. Les cahiers du cinéma lui consacreront une page en mai !

Ensuite j'ai traîné à Ombres Blanches et je suis tombée sur un DVD sur Paradjanov que j'ai immédiatement acheté pour mon ami Hayra, puis craqué pour un livre de Victoria Ocampo dont j'avais lu les correspondances avec Ernest Ansermet. Poireautée sans patience à Ombres Blanches plus d'une demi-heure en attendant Sandoval, la chanteuse indienne et le peintre César Nuñez. Heureusement j'ai retrouvé la cordobesa, amie de Gerry et Sylvie, puis Aurore et Nadia qui est restée au fond. Nous étions assisses en face du public, aux côtés des artistes.

Puis j'ai retrouvé Martine avec laquelle nous avons été à l'ESAV. Santiago Loza était là ! Quel plaisir de le voir. Je suis entrée puis ressortie pour offrir le DVD à Hayra (hija de puta fur son remerciement). Nous avons enchaîné Sabado de Juan Villegas (présent), après une intervention sur les réformes à la Fax et un court-métrage pas terrible El deseo. Puis à la cinémathèque Santiago et Juan étaient aussi à la projection de Vil Romance, dur dur...

Après cette matinée à tenter d'avancer sur les films pour Tangopostale et autres retards, je vais aller déjeuner avec Santiago sous la tente de la cantine du festival. Le temps est beaucoup moins beau, de quoi s'enfermer sans regret.

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