mardi 26 août 2008
Une zamba pour oublier
Le chant est sans doute un des liens les plus profonds et immédiats que l'on puisse établir avec soi et éventuellement auprès des autres... Une sorte de don de notre dedans profond,avec toutes ses aigreurs et ses miracles...
Ces tendresses oubliées, ses peines également. Tout ressort ou reste coincé !
Ainsi, au milieu de découvertes et de retrouvailles, de félicités et de désenchantement, ai-je pu chanter la “zamba para olvidar" de Daniel Toro.
J'avais des pages à tourner... de beaux souvenirs à garder également. Quoi qu'il arrive.
Pour être honnête et juste avec l'instant et non le salir ni le recouvrir de strates moins convaincantes.
Je reste convaincue et je chante mi zamba para olvidar.
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