Ce dimanche 29, nous calons rapidement un RDV avec Martín Borteiro & Regina de retour de leur périple européen. Ils ont l'air très contents. La conversation dérive rapidement sur Tangopostale et surtout sur le livre !!! Je leur raconte les dernières péripéties, la difficulté de dépasser les derniers épisodes avec Christophe... Martín me suggère de trouver un autre photographe, pense à Pedro Lombardi... Pourquoi pas ?
La voiture redémarre, nous nous dirigeons vers le Nord, entre Villa Luro et Versailles, prenons un verre, papotons et arrivons au Club Luz del porvenir, très barrio, avec tout plein de gens du quartier. Pas touristique du tout ! Nous essayons de ne pas nous donner la main, de ne pas nous toucher. Le spectacle en hommage à Marta Pizzo n'est pas d'une très grande qualité mais bon. Nous y sommes et contents d'être là. Liliana Manski chante le texte de Marta que j'ai décidé de traduire, "Cada espera es un adios", mis en musique par le pianiste Emilio de la Peña, récemment disparu. A la pause, nous allons saluer Marta Pizzo, très sympathique, ravie de notre présence...
Nous repartirons avant la fin de la deuxième partie, saluons Marta et son mari ,artiste peintre. Il me ramène jusqu'à Caseros, toujours avec beaucoup d'attentions et quasi de tensions tellement l'amour grandit, malgré nous et aussi grâce à nous...
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