Samedi, je profite que Matilde ne travaille pas pour l'inviter à déjeuner au Bataclana (Corrientes y Billinghurst).
Je pars ensuite pour le premier cours du séminaire passionnante de Patricia Barone, qui nous donne plein d'indications, en dehors des exemples qu'elle nous fait écouter. Je prends des notes, aussi des quelques mots qui m'échappent.
En rentrant, je perds un peu patience, la musique est très forte dans la rue, Matilde n'arrête pas de jouer, et je n'ai aucune envie d'aller au théâtre.... Nous y allons tout de même, voir los Niños del limbo au Camarin de las musas avec Matilde, sa sœur enceinte de 7 mois et Béatrice qui sort de la Gay pride ou de son équivalent argentin. Je m'endors pendant la pièce, un peu parce que je ne comprends pas tout, beaucoup parce que je n'en peux plus de sommeil. Je me réveille à peine pour manger une magnifique tarte épinard, potiron. Dodo !
Dimanche : Finalement Matilde part vers 13h jouer du folklore et je défais tout mon programme pour profiter de rester là, d'avancer un peu avec les emails. Je ne sors que pour aller écouter, et avec quel plaisir mes amis de 3.0.3. Je salue Daniel Ruggiero et Diego en bas, Patricia gardienne de la porte, je suis la première dans ce trsèsjoli lieu, los loros, puis la magnifique Virginia vient me rejoindre et me confie pas mal de sa nouvelle vie, puisqu'elle est désormais mariée à Pipi, même s'ils ont 17 ans de différence, on s'en fout ! Elle a continué à étudier pour son plaisir le fileteado, en dehors de son métier de masseuse. Ils habitent un endroit incroyable où ils ont racheté au fur et à mesure les différents appartements pour n'en faire qu'un ! J'attends de voir. La musique me fait un bien fou et je me dis que c'est ça, il n'y a que jouer ensemble qui vaille la peine. Que je puisse retrouver ce plaisir du jeu, de l'enfance joueuse... Où est-ce ?
Je félicite Hernán en lui disant que sa musique devrait être remboursée para la sécurité sociale. J'ai adoré leur complicité et cette musique que je n'entends pourtant pas pour la première fois. Je me suis régalée, ça m'a vraiment fait du bien. Pipi et Virginia doivent ramener des gens et nous partons avec les autres grignoter un truc dans le quartier. Le vétérinaire, ami d'Hernan se joint à nous. Je crois et parle aussi à Marisol, la violoniste du Sexteto Milonguero (ex Típica Imperial en 2005 à Toulouse) qui part jouer au Torquato Tasso où Christian les entendra jouer.
J'ai parfois l'impression de me réveiller en sursaut dans l'ascenseur dès qu'il se déclenche....
Demain, je vais chausser mes chaussures pour la première fois et écouter Pablo Bernarba avec son nouveau quinteto La Boca...
Je vais quand même me mettre aux articles du futur Tout Tango et aussi, je l'espère au livre mais pour ça, il faut que je "disparaisse" de toute part car sinon je n'y arriverais jamais.
Bonne nouvelle : j'avais écrit un email à un éditeur sur Toulouse en décembre 2008 et il m'a répondu il y a quelques jours et là, vient de me donner un rendez-vous le 25 janvier! Une bonne date pour finir d'écrire, non ?
Je pars ensuite pour le premier cours du séminaire passionnante de Patricia Barone, qui nous donne plein d'indications, en dehors des exemples qu'elle nous fait écouter. Je prends des notes, aussi des quelques mots qui m'échappent.
En rentrant, je perds un peu patience, la musique est très forte dans la rue, Matilde n'arrête pas de jouer, et je n'ai aucune envie d'aller au théâtre.... Nous y allons tout de même, voir los Niños del limbo au Camarin de las musas avec Matilde, sa sœur enceinte de 7 mois et Béatrice qui sort de la Gay pride ou de son équivalent argentin. Je m'endors pendant la pièce, un peu parce que je ne comprends pas tout, beaucoup parce que je n'en peux plus de sommeil. Je me réveille à peine pour manger une magnifique tarte épinard, potiron. Dodo !
Dimanche : Finalement Matilde part vers 13h jouer du folklore et je défais tout mon programme pour profiter de rester là, d'avancer un peu avec les emails. Je ne sors que pour aller écouter, et avec quel plaisir mes amis de 3.0.3. Je salue Daniel Ruggiero et Diego en bas, Patricia gardienne de la porte, je suis la première dans ce trsèsjoli lieu, los loros, puis la magnifique Virginia vient me rejoindre et me confie pas mal de sa nouvelle vie, puisqu'elle est désormais mariée à Pipi, même s'ils ont 17 ans de différence, on s'en fout ! Elle a continué à étudier pour son plaisir le fileteado, en dehors de son métier de masseuse. Ils habitent un endroit incroyable où ils ont racheté au fur et à mesure les différents appartements pour n'en faire qu'un ! J'attends de voir. La musique me fait un bien fou et je me dis que c'est ça, il n'y a que jouer ensemble qui vaille la peine. Que je puisse retrouver ce plaisir du jeu, de l'enfance joueuse... Où est-ce ?
Je félicite Hernán en lui disant que sa musique devrait être remboursée para la sécurité sociale. J'ai adoré leur complicité et cette musique que je n'entends pourtant pas pour la première fois. Je me suis régalée, ça m'a vraiment fait du bien. Pipi et Virginia doivent ramener des gens et nous partons avec les autres grignoter un truc dans le quartier. Le vétérinaire, ami d'Hernan se joint à nous. Je crois et parle aussi à Marisol, la violoniste du Sexteto Milonguero (ex Típica Imperial en 2005 à Toulouse) qui part jouer au Torquato Tasso où Christian les entendra jouer.
J'ai parfois l'impression de me réveiller en sursaut dans l'ascenseur dès qu'il se déclenche....
Demain, je vais chausser mes chaussures pour la première fois et écouter Pablo Bernarba avec son nouveau quinteto La Boca...
Je vais quand même me mettre aux articles du futur Tout Tango et aussi, je l'espère au livre mais pour ça, il faut que je "disparaisse" de toute part car sinon je n'y arriverais jamais.
Bonne nouvelle : j'avais écrit un email à un éditeur sur Toulouse en décembre 2008 et il m'a répondu il y a quelques jours et là, vient de me donner un rendez-vous le 25 janvier! Une bonne date pour finir d'écrire, non ?
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