


Jeudi 3 décembre :
Déjeuner chez Fernando Rezk dont je ne sais pas trop quoi penser, entre sa sympathie et bonhommie... Quelque chose coince et je ne sais pas où... Un doute sur son franc enthousiasme.
Je n'aurais jamais du manger de la salade.
A 17h, je me liquéfie juste avant la cours de zamba... J'ai du mal, même si j'ai des facilités... Christian est arrivé tard mais mon passage sur le siège m'a détruit quelques neurones.
Le soir, Dîner chez Pipi et Virginia.
Vendredi 4 décembre :
A 10h, nous rencontrons, Christian et moi Pepe Kokubu au Café du centre Borgès. Rencontre sympathique que je poursuivrais puisque Christian va prendre son cours de milonga traspié au 1er étage.
Nous passons une heure dans le Parque Lezama avec R. Tout est merveilleux, tout !!!! Je me sens comme jamais, plus moi, je déconne beaucoup, je ris, je fais même le cochon, j'ai envie de lui, je vibre et me sens vivre et je le sens aussi si bien que rien ne peut résister à cette sensation là !
Samedi 5 décembre :
Je suis malade, j'annule tout, même le concert de Raquel Buela et je ne peux pas en profiter ni même pour aller écouter Rubén Juarez qui passe au Tasso voisin. Kapout'
Dimanche 6
A peine remise, je retrouve Hélène Eckert au cinéma pour aller voir Fantasmas de Buenos Aires, bien décevant mais c'est sympa quand même. Nous finissons par boite un verre au très beau café le Petit Colón et je découvre Hélène avec laquelle nous avons beaucoup échangé sans jamais nous voir. C'est fait !
Je rentre à la maison et ne ressortirais que le soir pour rejoindre Luis Tarantino à la Trastienda, lieu que je ne connaissais pas, superbe, pour profiter du concert dans le cadre du festivald e jazz avec Franzetti-Marconi-Bergalli-Aslan : Formidable !!! je me régale. Nous sommes à la même table que la femme de Bergalli qu'un compositeur dont là, j'ai oublié le nom et un autre mec qui s'est ajouté en milieu de concert. Brillants musiciens ! A la fin, nous papotons avec Gustavo Mozzi qui a présenté le concert, de retour de la Chine via le Brésil ! Ca discute fort du mariage de Leonardo Suarez Paz demain...
Nous finissons par une pizza qui me redonne immédiatement la courante.... Gooooooaaaalllll écrirais-je à Luis pour qu'il sache que je suis arrivée juste à temps sur les chiottes... Pas glop, pas glop.
Lundi 7 décembre :
Je passe l'après-midi à Vicente Lopez en y allant en train depuis la gare de Retiro pour y passer plusieurs longues heures chez Margarita et Oscar Zucchi, en découvrant de nouveaux aspects. Leur maison, les dessins des caricatures des hommes du tango, les animaux empaillés et dessinés par ses soins... Je me rends compte de la perfection et de l'exigence suraigu de cet homme. Nous prenons le thé, je fais attention à ce que je mange, encore très fragile de l'estomac...
Je vais directement à l'Academia du tango où il y a un hommage à Alberto Podestá. Christian me rejoint et se plaît à cet hommage.
R arrive plus tard, je sais qu'il est derrière moi. Christian vole quelques photos... Et nous laisse tranquille. Nous passons la soirée ensemble. J'écoute d'étranges confessions, me demandant ce que je fais dans cette histoire, quelle place j'ai (ou plutôt je n'ai pas)...
Mardi 8 décembre :
Jour férié, c'est pourtant le jour où nous avons décidé d'aller avec Christian à Zivals mais tout est fermé... nous irons à un Musimundo... avec quelques réductions cependant. J'achète le DVD de Café de los Maestros. On déjeune dans un tenedor libre mais je n'y mange que du riz...
Le réparateur informatique passe à la maison.
Nous nous retrouvons avec R. et partons sur Costanera Sur... Une idée que plein d'autres ont eu en ce jour férié. Quel bonheur ! Tout ! Se ballader au milieu de la faune populaire, tourner autour de la fontaine de las Nereidas de Lola Mora, en matant les fesses en marbre d'un bel homme, longer les artisans, danser, observer les autres danser du folklore et du tango, se ballader près de la réserve écologique, faire écouter "Toulouse" de Nougaro à R., se parler sur un banc et chanter un peu, rire... L'aimer totalement, sur toute la hauteur, dans tous les sens... Quelle belle après-midi ensemble !
Il m'amène en voiture à Piola pour un dîner avec Pepe Kokubu et Pedro Ochoa. Comme nous arrivons tôt, les embrassades et les baisers dans la voiture sont absolument insoutenables d'envies...
La soirée étrange, avec un Pedro Ochoa qui vient avec une très belle fille (Pepe m'avait prévenu qu'il venait de se séparer de sa femme) et surtout pas très convivial ni bavard alors que je m'attendais à ce que l'on parle plus cinéma. Je fais gaffe à la bouffe...
Mercredi 9 décembre :
Nous allons au Café Tortoni, en sous-sol pour la présentation de la revue qu'il a mis en page Buenos Aires, Tango y lo demás, qui paraît une fois par an. Héctor Negro toujours aussi sympathique est là. Chacun fait sa vie mais nous nous retrouvons à la même table, mais pas à côté, à cette de Marta Pizzo. Plus tard, Marcela arrive puis Bibi et beaucoup plus tard Alejandro. Ca papote beaucoup puis tous les poètes sont appelés derrière. Je prends des photos, déteste immédiatement le présentateur, qui ne sait pas se retirer, profite de la belle poésie, des personnages aussi.
R est de loin le meilleur et il ne lit pas, il dit et comment !
Je resterai médusée par la présentation et le lecture de Eugenio Mandrini !!! Magnifique avec ces anges danseurs ! Superbe et émouvant !
Nous passons une heure dans le Parque Lezama avec R. Tout est merveilleux, tout !!!! Je me sens comme jamais, plus moi, je déconne beaucoup, je ris, je fais même le cochon, j'ai envie de lui, je vibre et me sens vivre et je le sens aussi si bien que rien ne peut résister à cette sensation là !
Samedi 5 décembre :
Je suis malade, j'annule tout, même le concert de Raquel Buela et je ne peux pas en profiter ni même pour aller écouter Rubén Juarez qui passe au Tasso voisin. Kapout'
Dimanche 6
A peine remise, je retrouve Hélène Eckert au cinéma pour aller voir Fantasmas de Buenos Aires, bien décevant mais c'est sympa quand même. Nous finissons par boite un verre au très beau café le Petit Colón et je découvre Hélène avec laquelle nous avons beaucoup échangé sans jamais nous voir. C'est fait !
Je rentre à la maison et ne ressortirais que le soir pour rejoindre Luis Tarantino à la Trastienda, lieu que je ne connaissais pas, superbe, pour profiter du concert dans le cadre du festivald e jazz avec Franzetti-Marconi-Bergalli-Aslan : Formidable !!! je me régale. Nous sommes à la même table que la femme de Bergalli qu'un compositeur dont là, j'ai oublié le nom et un autre mec qui s'est ajouté en milieu de concert. Brillants musiciens ! A la fin, nous papotons avec Gustavo Mozzi qui a présenté le concert, de retour de la Chine via le Brésil ! Ca discute fort du mariage de Leonardo Suarez Paz demain...
Nous finissons par une pizza qui me redonne immédiatement la courante.... Gooooooaaaalllll écrirais-je à Luis pour qu'il sache que je suis arrivée juste à temps sur les chiottes... Pas glop, pas glop.
Lundi 7 décembre :
Je passe l'après-midi à Vicente Lopez en y allant en train depuis la gare de Retiro pour y passer plusieurs longues heures chez Margarita et Oscar Zucchi, en découvrant de nouveaux aspects. Leur maison, les dessins des caricatures des hommes du tango, les animaux empaillés et dessinés par ses soins... Je me rends compte de la perfection et de l'exigence suraigu de cet homme. Nous prenons le thé, je fais attention à ce que je mange, encore très fragile de l'estomac...
Je vais directement à l'Academia du tango où il y a un hommage à Alberto Podestá. Christian me rejoint et se plaît à cet hommage.
R arrive plus tard, je sais qu'il est derrière moi. Christian vole quelques photos... Et nous laisse tranquille. Nous passons la soirée ensemble. J'écoute d'étranges confessions, me demandant ce que je fais dans cette histoire, quelle place j'ai (ou plutôt je n'ai pas)...
Mardi 8 décembre :
Jour férié, c'est pourtant le jour où nous avons décidé d'aller avec Christian à Zivals mais tout est fermé... nous irons à un Musimundo... avec quelques réductions cependant. J'achète le DVD de Café de los Maestros. On déjeune dans un tenedor libre mais je n'y mange que du riz...
Le réparateur informatique passe à la maison.
Nous nous retrouvons avec R. et partons sur Costanera Sur... Une idée que plein d'autres ont eu en ce jour férié. Quel bonheur ! Tout ! Se ballader au milieu de la faune populaire, tourner autour de la fontaine de las Nereidas de Lola Mora, en matant les fesses en marbre d'un bel homme, longer les artisans, danser, observer les autres danser du folklore et du tango, se ballader près de la réserve écologique, faire écouter "Toulouse" de Nougaro à R., se parler sur un banc et chanter un peu, rire... L'aimer totalement, sur toute la hauteur, dans tous les sens... Quelle belle après-midi ensemble !
Il m'amène en voiture à Piola pour un dîner avec Pepe Kokubu et Pedro Ochoa. Comme nous arrivons tôt, les embrassades et les baisers dans la voiture sont absolument insoutenables d'envies...
La soirée étrange, avec un Pedro Ochoa qui vient avec une très belle fille (Pepe m'avait prévenu qu'il venait de se séparer de sa femme) et surtout pas très convivial ni bavard alors que je m'attendais à ce que l'on parle plus cinéma. Je fais gaffe à la bouffe...
Mercredi 9 décembre :
Nous allons au Café Tortoni, en sous-sol pour la présentation de la revue qu'il a mis en page Buenos Aires, Tango y lo demás, qui paraît une fois par an. Héctor Negro toujours aussi sympathique est là. Chacun fait sa vie mais nous nous retrouvons à la même table, mais pas à côté, à cette de Marta Pizzo. Plus tard, Marcela arrive puis Bibi et beaucoup plus tard Alejandro. Ca papote beaucoup puis tous les poètes sont appelés derrière. Je prends des photos, déteste immédiatement le présentateur, qui ne sait pas se retirer, profite de la belle poésie, des personnages aussi.
R est de loin le meilleur et il ne lit pas, il dit et comment !
Je resterai médusée par la présentation et le lecture de Eugenio Mandrini !!! Magnifique avec ces anges danseurs ! Superbe et émouvant !
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